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La Question des Vaccins

22 décembre 2023

Les non vaccinés vilipendés part erreur !!!

Voici la traduction d'un article de The Defender 

https://childrenshealthdefense.org/defender/unvaxed-ties-pfizer-new-research-study-flawed/?utm_source=luminate&utm_medium=email&utm_campaign=defender&utm_id=20231222

Il est question ici du modèle SIR qui est de toute façon très contstable quelle que soit son utilisation. J'avais écrit en 2010 un article sur les modèles mathématiques :

http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2010/11/30/19748527.html

POur les modèles SIR voir la fin de mon article

"L'auteur de l'étude utilisée pour vilipender les non vaccinés avait des liens avec Pfizer — Une nouvelle recherche évaluée par des pairs montre pourquoi l'étude était erronée"

"Une nouvelle étude évaluée par des pairs menée par les chercheurs Joseph Hickey, Ph.D. et Denis Rancourt, Ph.D., a réexaminé les modèles mathématiques utilisés pour justifier les politiques interdisant l'accès aux lieux publics aux personnes non vaccinées. Ils ont découvert que les modèles reposaient sur l’application de modèles mathématiques de risque erronés.

Pendant la pandémie de COVID-19, des politiciens, des scientifiques et des médias ont vilipendé les personnes non vaccinées , les accusant de prolonger la pandémie et préconisant des politiques qui interdisaient aux « non vaccinés » l’accès aux lieux publics, aux entreprises et à leur propre lieu de travail.

Mais une étude évaluée par des pairs publiée la semaine dernière dans Cureus montre qu'une étude clé d'avril 2022 réalisée par Fisman et al. – utilisé pour justifier des politiques draconiennes de ségrégation des non vaccinés – était basé sur l’application de modèles mathématiques de risque défectueux qui n’offrent aucun fondement scientifique à de telles politiques.

Le Dr David Fisman , épidémiologiste à l'Université de Toronto, était l'auteur principal de l'étude d'avril 2022, publiée dans le Journal de l'Association médicale canadienne (JMC), qui, selon les auteurs, montrait que les personnes non vaccinées présentaient un risque disproportionné par rapport aux personnes vaccinées.

Fisman a travaillé comme conseiller auprès des fabricants de vaccins Pfizer, Seqirus, AstraZeneca et Sanofi-Pasteur. Il a également conseillé le gouvernement canadien sur ses politiques relatives au COVID-19 et a récemment été nommé à la tête du nouvel Institut sur les pandémies de l' Université de Toronto .

Fisman a déclaré aux journalistes que le message clé de l’étude était que le choix de se faire vacciner n’est pas seulement personnel, car si vous choisissez de ne pas être vacciné, vous « créez un risque pour ceux qui vous entourent ».

La presse s'en est emparée.

Des titres comme celui de Salon : « Le simple fait de sortir avec des personnes non vaccinées expose les vaccinés à un risque plus élevé : étude », de Forbes « Une étude montre que les personnes non vaccinées courent un risque accru d'infecter les vaccinés » ou de Medscape « Mon choix ? Les non vaccinés posent un risque démesuré pour les vaccinés » ont proliféré dans plus de 100 points de vente.

Le Parlement canadien a utilisé ce document pour promouvoir des restrictions pour les personnes non vaccinées.

Cependant, dans la nouvelle étude publiée la semaine dernière, Joseph Hickey, Ph.D., et Denis Rancourt, Ph.D., montrent que le modèle « sensible-infectieux-récupéré (SIR) » de Fisman, utilisé pour tirer ses conclusions, avait un défaut flagrant dans l’un de ses paramètres clés – la fréquence de contact.

Lorsqu’ils ont ajusté ce paramètre pour tenir compte des données du monde réel, le modèle a produit une variété de résultats contradictoires, dont un montrant que la ségrégation des personnes non vaccinées peut augmenter la gravité de l’épidémie parmi les vaccinés – exactement le contraire de ce que Fisman et al. censé montrer

Hickey et Rancourt, chercheurs au Canada's Correlation: Research in the Public Interest , ont conclu que sans données empiriques fiables pour éclairer de tels modèles SIR, les modèles sont « intrinsèquement limités » et ne devraient pas être utilisés comme base de politique.

Les chercheurs canadiens ont tenté de publier leur article dans le CMAJ, où Fisman avait publié son étude originale, mais l'éditeur – un collaborateur de Fisman – a même refusé de l'examiner.

La version en libre accès du JAMC a également refusé de publier l’article même après avoir reçu des critiques favorables par les pairs.

Dans une lettre envoyée, avec pièces justificatives, au JAMC et à l'Association médicale canadienne, Hickey et Rancourt ont relaté la « fastidieuse saga » au cours de laquelle les rédacteurs de la revue « ont concocté une multitude d'objections accessoires et inutiles, apparemment destinées à constituer des obstacles insurmontables » à la publication. leur étude.

Ils ont ensuite publié l’étude dans la revue à comité de lecture Cureus.

Rancourt a tweeté un lien vers les résultats de l’étude ainsi qu’un montage de clips médiatiques de l’ère pandémique faisant des boucs émissaires des personnes non vaccinées.

"Une politique basée sur rien"

Les modèles SIR étaient couramment utilisés comme base pour les politiques en matière de pandémie , souvent avec des défauts fatals que les recherches ont montrés depuis.

Fisman et coll. ont conçu leur étude pour mesurer les impacts de la séparation de deux groupes – les personnes vaccinées et non vaccinées – en appliquant un modèle SIR pour prédire si les non vaccinés présentent un risque excessif pour les vaccinés lors d'une épidémie virale respiratoire aiguë grave, sur la base de degrés variables de mélange entre les groupes .

Cependant, selon Hickey et Rancourt, le modèle n’a pas pris en compte les impacts de cette ségrégation sur les « fréquences de contact », un paramètre clé pour prédire l’issue de l’épidémie.

Au lieu de cela, il a supposé que les fréquences de contact entre les groupes majoritaires (vaccinés) et socialement exclus (non vaccinés) seraient égales et constantes, ce qui « n’est pas réaliste », a déclaré Hickey au Defender .

En d’autres termes, le modèle supposait que les deux groupes seraient séparés, tout en vivant la même existence parallèle : socialiser, travailler, faire du shopping et entrer en contact avec les autres exactement de la même manière.

Mais dans le monde réel, la ségrégation signifiait que les non vaccinés étaient exclus de nombreux lieux publics, de sorte que leurs fréquences de contact étaient considérablement réduites.

Hickey et Rancourt ont de nouveau mis en œuvre le modèle SIR, testant un degré de ségrégation allant de zéro à une ségrégation complète et permettant aux fréquences de contact des individus des deux groupes de varier en fonction du degré de ségrégation.

Lorsqu’ils ont exécuté le modèle en utilisant une estimation plus réaliste de la façon dont différentes politiques de ségrégation pourraient générer des fréquences de contact différentes entre les deux groupes, « nous avons constaté que les résultats étaient partout », a déclaré Hickey.

En séparant les personnes non vaccinées de la majorité vaccinée, a-t-il déclaré : « Vous pouvez avoir une augmentation du taux d’attaque parmi les personnes vaccinées ou une diminution. »

« Des conséquences épidémiologiques négatives peuvent survenir pour l’un ou l’autre groupe séparé, quels que soient les impacts délétères des politiques elles-mêmes sur la santé », écrivent-ils .

Hickey a déclaré que les résultats variables étaient très sensibles aux valeurs des paramètres du modèle, à savoir la fréquence des contacts infectieux.

Mais il a ajouté que dans le monde réel, il n’existe pas de mesures fiables de la fréquence de contact et que sans mesures fiables des entrées du modèle, le modèle n’a pratiquement aucun sens.

Ils ont conclu que le degré d’incertitude de ces modèles SIR est si élevé qu’ils ne peuvent raisonnablement éclairer les décisions politiques.

"C'est une politique basée sur rien", a déclaré Hickey.

« Nous ne pouvons pas recommander que la modélisation SIR soit utilisée pour motiver ou justifier des politiques de ségrégation concernant les maladies respiratoires virales, dans l’état actuel des connaissances », conclut l’étude."

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24 novembre 2023

Vaccins Covid : L'agence européenne du médicament lâche les gouvernements !

Une nouvelle ENORME !!!!!!!! 

A la demande de parlementaires européens, l’Agence européenne du médicament (EMA) vient de préciser ceci à ces parlementaires :
"1. The authorised indications 
You state that based on the authorised indications, the vaccines ‘should only be administered to individuals who seek personal protection, and they are not authorised for the purpose of reducing transmission or infection rates (transmission control)’. 
You also state that the authorised indication does not align with uses promoted by ‘pharmaceutical companies, politicians, and health professionals’. You are indeed correct to point out that COVID-19 vaccines have not been authorised for preventing transmission from one person to another. The indications are for protecting the vaccinated individuals only. « 
Voir le document complet ainsi qu’une courte vidéo  d’un  de ces parlementaires.   Ça chauffe !!!
16 janvier 2022

Sur des fautes méthodologiques dans l'évaluation d'actions de santé publique

 

Voici une nouvelle version que j'espère plus pédagogique sur les fantaisies de l'expertise quand elle traite

des données épidémiologiques avec des tests statistiques ...

 

 

Sur des fautes méthodologiques

 

et leurs conséquences

 

dans l'évaluation

 

d'actions de santé publique

 

 

 

Orientation générale

 

Un vote pour une élection comporte deux grandes phases. D'une part le vote des électeurs c'est à dire la collecte des données ; d'autre part le dépouillement qui va correspondre à l'analyse des données dans une étude épidémiologique. Les seules critiques généralement formulées sur les études épidémiologiques portent sur la collecte des données avec la question : ''pourra-t-on appliquer à la population les informations trouvées sur les données collectées ? '' On pourra alors éventuellement parler de biais de sélection.

 

Par contre, les procédés utilisés pour analyser les données collectées font rarement l'objet de contestations. C'est de cela dont il sera question ici. Il s'agit donc d'un type de critiques très inhabituelle. Les erreurs techniques présentées seront illustrées par des exemples pris dans des études publiées dans des revues avec comités de lecture.

 

Les fautes techniques pointées dans ce document ne sont pas que le fait des auteurs des études prises pour exemples. Elles puisent leur origine beaucoup plus en amont, au niveau des concepteurs de la discipline qui a formé les auteurs, que ce soit en France ou à l'internationale. Les exemples présentés ont été pris dans des publications portant sur l'impact d'une campagne de vaccination sur une population mais les erreurs techniques sous jacentes sont générales et indépendantes de cette situation particulière. Elles pourraient donc aussi impacter les études épidémiologiques portant sur d'autres thèmes que les vaccinations.

 

Les erreurs techniques décrites sont incontestables car de nature mathématique. Ce terme ne doit ni effrayer ni décourager. En fait c'est plutôt très simple à comprendre, beaucoup plus simple et plus assuré que l'immunologie. Dans un but pédagogique, j'ai illustré dans la mesure du possible avec des exemples ''fabriqués'' qui devraient aider à la compréhension des problèmes majeurs car très lourds de conséquences qui sont soulevés dans ce texte qui n'est pas exhaustif. Il existe en effet d'autres problèmes de même nature et aux conséquences tout aussi importantes et graves.

La suite dans le document PDFLimites_de_l_expertise

 

https://p8.storage.canalblog.com/87/61/310209/123082925.pdf

Additif du 29 janvier 2022 :

Un récapitulatif très intéressant de l'affaire de la vaccination contre l'hépatite B et la sclérose en plaques par Jean Yves Nau (2017)

http://www.slate.fr/story/147546/sclerose-plaques-vaccin-hepatite-b-racines-mal-francais

Bien sûr il ignore, et pour causes, ce que j'explique dans la dernière partie du PDF sur les limites de l'expertise. J'ai de plus donné une version plus détaillé sur l'existence d'un signal caché comme sur celle d'un signal qui  fit grand bruit mais qui n'existait pas  dans 2 articles sur le site de l'Aimsib :

https://www.aimsib.org/2020/02/23/mentir-ou-travestir-pour-ne-pas-faillir-le-coup-du-signal-fort-quon-prefere-oublier/

https://www.aimsib.org/2019/11/06/laffaire-des-effets-secondaires-post-vaccinaux-qui-nexistaient-meme-pas/

Aujourd'hui il est admis que les études scientifiques ont établi qu'il n'y avait pas de lien entre la vaccination contre l'hépatite B et la sclérose en plaques alors que les auteurs qui avaient découvert ce signal très fort avaient été contraints de ne pas en faire état. Cependant ils avaient publié les données qui permettent de le retrouver ... Une affaire cachée mais énorme ...

 

ADDITIF du 21 janvier 2022

Je tiens à exprimer toute mon admiration au Professeur Christian Perronne pour son engagement sans failles depuis le début de la crise que nous subissons depuis 2020.

 

«  … C’est de la corruption qui a plongé des dizaines de milliers de Français dans la mort. » (…) « Il faut foutre un coup de pied dans la fourmilière et foutre en l’air tout ce système de décision en matière médicale avec tous ces journaux médicaux qui sont totalement corrompus y compris : le Lancet, le British Medical Journal, le Jama, le New England Journal of Medicine. » (…) « C’est pourri d’un bout à l’autre depuis 20 ans. Avec les grands journaux scientifiques qui publient des données foireuses financées par l’industrie. » (…) « Ils sont tous pourris. Il faut remettre tout cela à plat. Je ne peux pas faire cela tout seul. Il faut qu’il y ait des hommes politiques courageux qui viennent dans l’arène pour dire stop. Et vraiment mettre un stop à toute cette corruption. Il faut jeter dehors les lobbyistes à Bruxelles parce que l’industrie pharmaceutique fait partie des premiers lobbies à Bruxelles. » « le Covid-19 est un scandale plus grand que le sang contaminé ». 

 

ADDITIF du 9 août 2019

Une vaste étude allemande publiée le 30 juillet 2019 envisage que le vaccin contre l'hépatite B puisse avoir un effet protecteur contre ... la sclérose en plaques !!! [1]  [2]

Biern sûr, il s'agit d'une "vaste" étude cas-témoins portant sur des délais. Or on devrait s'interdire de tester sur des délais en cas-témoins. Je l'explique dans le PDF joint. Je précise ici simplement que tester consiste à comparer l'observation avec une référence. Quand on teste sur des délais, ils sont eux-mêmes la référence avec a priori comme modèle que le nombre de cas apparus est théoriquement le même sur des délais égaux comme par exemple au cours de la première année qui suit une vaccination et au cours de la seconde. L'objet du test sera alors d'évaluer si  les écarts observés entre les nombres de cas apparus au cours de ces 2 années sont compatibles avec des variations aléatoires. La loi de probabilité utilisée pour les calculs est une loi de Poisson.

En cas-témoins, le système de référence est constitué des témoins. On cherche alors si les variations observées des proportions de cas et témoins vaccinés entre la première année et la seconde sont statistiquement comparables. Ce n'est pas le même test et je donne des exemples qui montrent que ce test cas-témoins peut être non significatif alors que le test sur les cas par une loi de Poisson peut être très significatif.

Voici un exemple pédagogique :

Année

                                Cas

Témoins

Année 1

100

1000

Année 2

100

1000

Avec ces données odds ratio entre les années 1 et 2 vaut 1 : 100/1000 divisé par 100/1000.

Avec ces autres données

Année

Cas

Témoins

Année 1

100

1000

Année 2

20

200

l'odds ratio entre les années 1 et 2 vaudra encore 1 : 100/20 divisé par 1000/200. Il exprime que les variations des cas et témoins entre la première et la seconde année sont égales : 5 fois moins de cas et 5 fois moins de témoins la seconde année. Pourtant le fait qu'il y ait 100 cas la première année et seulement 20 la seconde donne un signal statistique évident et très fort.

 

 [1]  https://multiplesclerosisnewstoday.com/news-posts/2019/07/31/vaccinations-not-a-risk-factor-for-multiple-sclerosis/

Traduction :

"Les vaccins ne posent aucun risque de développer la SEP, étude réalisée en Allemagne sur une population nombreuse

L’étude a conclu que la vaccination n’était pas «un facteur de risque de SEP. Au contraire, [les résultats] suggèrent systématiquement que la vaccination est associée à une probabilité moins élevée d'être diagnostiquée avec la SEP dans les 5 prochaines années. Les futures études devront déterminer s'il s'agit d'un effet protecteur ou non », ont écrit les chercheurs."

 

[2]  https://n.neurology.org/content/early/2019/07/30/WNL.0000000000008012

 

"Une vaste étude cas-témoins sur la vaccination en tant que facteur de risque de la sclérose en plaques

Conclusions Les résultats de la présente étude ne révèlent pas que la vaccination soit un facteur de risque de SEP. Au contraire, ils suggèrent systématiquement que la vaccination est associée à une probabilité moins élevée d'être diagnostiquée avec la SEP dans les 5 prochaines années. Que ce soit un effet protecteur ou non, cela doit être abordé dans les études futures."

 

20 novembre 2021

Effets indésirables des vaccins covid

Au cours d'un très long exposé avec diaporama de 8h50mn la FDA américaine a glissé une diapo où sont mentionnés toute une liste d'effets indésirables graves et même très graves. Curieusement cett diapo passz à la vitesse de l'éclair à 2h33'40",visible seulement pendant quelques dixièmes de seconde à vitesse normale.

https://www.youtube.com/watch?v=1XTiL9rUpk

 

FDA Safety Surveillance of Covid-19 Vaccines
DRAFT Working list of possible adverse event outcomes
*** Subject to change ***
Guillain Barre Syndrome
Acute disseminated encephalomyelitis
Thrombose myelitis
Encephalitis/myelitis/encephalomyelitis/meningoencephalitis/meningitis/encephalopathy
Convulsions/seizures
Stroke
Narcolepsy and cataplepsy
Anaphylaxis
Une ou deux maladies cachées par un texte superposé

Autoimmune disease
Deaths
Pregnancy and birth outcomes
Other Acute demyelinating reactions
Non-anaphylactic allergic reactions
Thrombocytopenia
Disseminated intravascular coagulation
Venous thrombosis embolism
Arthritis and arthralgia/joint pain
Kawasaki disease
Multisystem Inflammatory Syndrome in Children
Vaccine enhanced disease

A noter aussi une vidéo de 22mn avec Luc Montagnier qui parle d'effets indésirables inattendus avec les vaccinations Covid puisqu'il s'agit de la maladie de Creuzfeld-Jacob qui pourrait être provoquée par ces vaccinations qui pourraient modifier l'agencement de protéines de cellules nerveuses.

https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/pr-luc-montagnier-vaccination-prions

"Il faut cesser le vaccin, le plus tôt sera le mieux !"

Luc Montagnier

A noter aussi que dans la même vidéo il attribue à la vaccination BCG un effet protecteur contre la maladie covid et qu'il en arrive à recommander cette vaccination car elle stimule l'immunité cellulaire.

Je dirais qu'en amont du BCG c'est à dire du bacille Calmette Guérin il y. a une très grande découverte qui a été occultée : ce fut un chercheur de Nantes qui constata de façon fortuite que la bile avait la propriété d'atténuer la virulence du Bacille de Koch. Il alla montrer sa découverte à Calmette qui travaillait à l'Institut Pasteur de Lille. Celui-ci reprit cette découverte en poursuivant les cultures du bacille par repiquages successifs sur pomme de terre cuite dans de la bile de boeuf. Il s'associa au vétérinaire Guérin qui expérimentait sur des bovins. Après 235 cultures ils furent convaincus d'avoir obtenu une forme atténuée du bacille tuberculeux et qui semblait stabilisée, c'est à dire sans retour de virulence.

Ils venaient donc de mettre en évidence que la bile avait le pouvoir d'atténuer et de stabiliser la virulence du bacille tuberculeux. C'était une immense découverte qui aurait pu être exploitée en utilisant directement la bile pour en faire un médicament contre la tuberculose ou pour voir comment il serait possible de renforcer avec elle l'immunité contre la tuberculose.

Malheureusement ce ne fut pas cette voie qui fut choisie. Le bacille obtenu qui fut d'abord appelé Bacille Bilié fut finalement nommé  Bacile de Calmette et Guérin en laissant tomber la bile qui avait pourtant le rôle majeur au profit du nom des découvreurs de ce bacille. Quant au malheureux chercheur nantais, il n'eut pas droit aux honneurs alors qu'il fut à l'origine de la découverte.

La stratégie choisie fut donc d'inoculer le bacille. Que le vaccin puisse  véhiculer une part de l'information de la bile et produire ainsi des effets positifs, cela est tout à fait possible. Mais la bile avait certainement un pouvoir autrement plus grand.

10 septembre 2021

Un vaccin nasal contre la covid ?

 

 Un vaccin nasal contre le virus de la covid ?

Au cours d'un communiqué de presse, des chercheurs Français ont annoncé avoir obtenu des résultats prometteurs avec un vaccin nasal contre le virus Sars Cov-2

https://www.inrae.fr/actualites/vaccin-100-francais-administrable-voie-nasale-contre-covid-19-resultats-pre-cliniques-positifs

Ces chercheurs  de l’université de Tours et de l’institut national de recherche agronomique l'INRAE travaillent au développement d’un vaccin nasal qui promet d’avoir un meilleur effet sur la transmission que les vaccins actuels.

"Ce vaccin offrirait une réelle différence avec les vaccins existants : éliminer les transmissions. À l’heure actuelle, les vaccins ne permettent que de réduire ce risque de moitié, éloignant l’idée d’une immunité collective. Cela est dû au fait que la charge virale se trouve principalement dans le nez, qui constitue la porte d’entrée du virus. Ce candidat-vaccin entraîne une défense locale directement dans le nez et agit donc à l’endroit clé des contaminations et permettrait de protéger le patient vacciné d’être infecté ou de pouvoir transmettre le SARS."

Ces informations sur la localisation  du virus par laquelle il se transmet viennent confirmer ce qu'on savait déjà. Comme pour la grippe, cette localisation externe ne peut pas être contrée par un vaccin injecté. Pour la grippe il est reconnu que "par la vaccination on ne cherche pas à casser les épidémies mais à protéger les personnes vulnérables" comme me répondra Isabelle Bonmarin au congrès SFSP de Tours en novembre 2015 à une question que j'avais posé au cours d'une session spéciale sur la grippe. Isabelle Bonmarin intervenait en tant que responsable des études sur la grippe à l'InVS (Institut national de veille sanitaire remplacé en 2017 par Santé Publique France).

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8 août 2021

"Il faut suspendre d'urgence la vaccination Covid " par un chercheur au CNRS

La vaccination covid provoque des micro caillots sanguins dont les conséquences peuvent être multiples.

Il existe un test qui permet de le vérifier, le dosage de D-dimères :
https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-anatomie-et-examens/2500048-d-dimeres-dosage-taux-normal-eleves-bas/

Voici ce qu'en disent des médecins ayant testé ainsi leurs patients :

https://vk.com/video444549918_456239465

 Et que se passera-t'il après une troisième injection ?

Il a aussi été montré que les vaccinations covid réduisaient à terme le nombre de cellules T qui participent au bon fonctionnement du système immunitaire. Les vaccinés pourront alors avoir des formes graves de maladies, y compris la covid. Cela n'exclut pas que dans un premier temps, les vaccinés évitent les formes graves mieux que s'ils n'avaient pas été vaccinés. Mais, après quelques mois, quand la thérapie génique du vaccin n'agit plus, le vacciné se trouve en moins bonne posture pour faire face à l'infection covid. C'est bien ce que l'on observe en Angleterre et en Israël par exemple.

En fait, la vaccination covid favoriserait dans un premier temps les lymphocytes T, ce qui bousterait le système immunitaire. Puis ce serait l'inverse dans un second temps. D'où la multiplication des rappels puisqu'il est annoncé qu'après le rappel 6 mois après les 2 premières injections, il en faudra un quatrième 1 an plus tard puis tous les ans. C'est le pdg de Moderna, un Français s'exprimant en français qui l'a annoncé haut et fort.
*****
Une étude de Laurent Mucchielli, directeur de  recherche au CNRS (et non pas directeur du CNRS comme certains l'ont écrit) :
« la vaccination devient plus dangereuse que la maladie en dessous d’une certaine classe d’âge qu’on peut fixer à 60 -65 ans … » :
 
« En 6 mois de campagne vaccinale en France on a 1000 morts »   « Aux USA. 6000 morts pour 160 millions de vaccinés »
 
« Il est hallucinant de lire le communiqué de l’Académie de Médecine … Il faut suspendre d’urgence cette campagne de vaccination, il faut un moratoire … »
 
« Nous devons tous faire quelque chose pour sortir de cette folie. »  « Nous sommes dans l’idéologie, c’est n’importe quoi"
 
 
Version longue 35’30’’. : à droite du premier lien
 
*****
Plus une intervention de Alexandra  Henrion Caude (23'37'') au cours d'une manifestation :
https://odysee.com/@FlowerPower:b/Injection-Ou-Poison-(Alexandra-Henrion-Caude):8
Plus des vidéos récentes de Christian Perronne :
Une courte vidéo de Christian Perronne (2’ 45’’) titrée : « le variant delta ne tue personne ! »   Plus d’autres vidéos associées..
« Plus vous en accorderez au gouvernement et plus il vous en demandera : «  Vous avez accepté 2 doses, très bien, maintenant il vous en faut une troisième puis une quatrième … »  Ce sera une histoire sans fin « 
*****
Pour illustrer le niveau de l’expertise qui s’occupe de l'humanité, voici une petite observation :  Vous vous souvenez tous du fameux signal sorti un 25 septembre 2008, les enfants observants au calendrier vaccinal et vaccinés par la suite avec Engerix B étaient plus à risque de SEP que les autres, ce risque apparaissant au delà des 3 années qui suivaient cette vaccination.
Voici un extrait du fameux signal qui avait fait beaucoup, beaucoup de bruit (copie d'écran de la publication) :
Engerix B  ever use.                        30 (cas)         91 (témoins).    OR=1,92.  (0,96  - 3,85)
Engerix B  0-3 y.                             11.                43.                     1,11.      ( 0,43. -  2,90)
Engerix B. >3 Y.                              19.                48.                     2,77.       (1,23. -  6,24)
Le signal est indiqué sur la troisième ligne ici : OR=2,77 significatif, la borne inf de l’IC étant >1 (1,23).
On lit qu’il y a 11 cas apparus au cours des 3 premières années contre 19 au delà.  Cela signifie que 19 est statistiquement > à 11.
Toute personne sensée en déduirait aussitôt que 11 est statistiquement inférieur à 19. EH BIEN NON !!! Non car ici nous sommes dans la logique de ce qu'on appelle l'expertise médicale.  En effet, la seconde ligne testant sur les 3 premières années nous dit que 11 n’est pas statistiquement inférieur à 19 !!!!!!!!
Il y a là une ANOMALIE PLUS QUE FLAGRANTE QUE PERSONNE N’A VUE !!!! Ni les auteurs, ni les commentateurs autorisés réunis en  extrême urgence dans leurs  comités, CTV, Commission nationale de pharmacovigilance … pour CASSER ce signal à tout prix.
ILS N’ONT PAS VU CETTE CONTRADICTION et ILS N’ONT PAS FAIT SEMBLANT DE NE PAS LA VOIR !
TOUT AUSSI GRAVE : LES LEADERS DE LA CRITIQUE DES VACCINS CONTRE L'HEPATITE B N’ONT RIEN VU NON PLUS. POURTANT ILS ETAIENT À L’AFFUT. MAIS RIEN, MALHEUREUSEMENT, RIEN.
QUEL MYSTÈRE SE CACHE DERRIERE CETTE CONTRADICTION ? JE L’AI EXPLIQUE SOUVENT :
ILS LAISSENT TRAINER DANS LES CALCULS LES CAS ET TEMOINS NON VACCINES ENGERIX B ET POUR LESQUELS LE DELAI N’EXISTE PAS !!!  C’EST COMME SI ON UTILISAIT DES SOURIS NON FECONDEES POUR ETUDIER UNE DUREEE DE GESTATION.
LES AUTEURS NE SONT PAS LES SEULS RESPONSABLES. L’ERREUR EST INTERNATIONALE ET IMPLANTÉE DANS LES LOGICIELS D’EPIDEMIOLOGIE. AINSI IKS FONT TOUS LA MÊME ERREUR EN CROYANT BIEN FAIRE ...
AINSI VA L'EXPERTISE MONDIALE ... CE N'EST PAS GRAVE, C'EST CATASTROPHIQUE.
OU PLUTÔT CE SERAIT RIDICULE SI CE N'ETAIT PAS CATASTROPHIQUE
 
 
5 août 2021

Je suis antivaccinaliste !

 

ANTIVAX, NON !   ANTIVACCINALISTE, OUI !!!

 

Franchement j'en ai un peu marre d'entendre parler des antivax, que ce soit pour les maudire ou pour dire "je ne suis pas antivax mais ...".

Je m'intéresse aux problémes posés par les vaccinations depuis le début des années 1970 pour constater qu'il existe une idéologie très active et insidieusement implantée dans nos institutions, de l'école à l'Elysée en passant par l'Assemblée Nationale, le Sénat et bien d'autres. Cette idéologie est le "vaccinalisme" et l'opposition à cette idéologie se nomme donc l'antivaccinalisme. 

Après avoir pris conscience à quel point cette idéologie m'avait imprégné l'esprit et pollué mon autonomie intellectuelle et émotionnelle, je m'en suis libéré pour devenir un "antivaccinaliste" c'est à dire celui qui lutte contre cette imprégnation idéologique. Ce fut depuis cette époque mon orientation : essayer d'aider tout un chacun à se libérer des chaînes d'une idéologie. Je constate aujourd'hui, à l'aube de la vieillesse, avec quelle incroyable intensité cette idéologie se manifeste. Jamais je n'aurais osé penser que cette idéologie, dont je croyais pourtant avoir à peu près cerné les contours, aurait pu se manifester avec une telle ampleur et une telle intensité.

Aujourd'hui je serai classé "antivax" avec un ou deux x je ne sais pas et je m'en fiche ! Ce terme à connotation étrangère ne me correspond pas.  Je suis et reste plus que jamais antivaccinaliste même si ce terme semble avoir disparu de la sphère publique.

 

19 juillet 2021

VACCINS COVID : "Nous devons tout arrêter maintenant !"

 LES SHADOCKS NE SONT PAS MORTS !!!

  1. Frappés par une épidémie, les Shadocks avaient inventé un vaccin qui avait la double propriété de favoriser l’extension de l’épidémie tout en protégeant en partie des formes graves de la maladie.
    Ainsi, en vaccinant 90% de leur population les Shadocks avaient fait bondir l’épidémie d’une prévalence de 100 cas à 10 000 cas avec 1000 formes graves. Constatant qu’il y avait seulement 450 cas graves contre 550 chez les non vaccinés, ils en déduisirent que la vaccination ayant une certaine efficacité à limiter les formes graves, il fallait continuer à l’utiliser. Pourtant, chez leurs voisins aussi frappés par l’épidémie, la prévalence de celle ci n’avait jamais dépassé 100 cas simultanés dont 10 formes graves. 

    C’est pratiquement la situation en Israël telle que décrite ici


    https://twitter.com/Karim__Fr/status/1434919353120661505?s=20

    et commentée ainsi :

    « si le vaccin ne fonctionnait pas, on aurait 95 % de vaccinés parmi les cas graves. Or, on en a que 55% selon la journaliste. Il réduit donc effectivement le risque de covid grave »

    C’est possible qu’il réduise le risque relatif de formes graves par rapport aux non vaccinés mais tout en augmentant considérablement le nombre absolu de cas et de formes graves chez les vaccinés.
    On retrouve ici, une fois de plus, l’obsession du relatif et des pourcentages qui gomment les nombres absolus alors que les populations vivent ces nombres absolus au quotidien. Elles en souffrent terriblement pendant qu’experts, décideurs et commentateurs de télés ou du dimanche se gargarisent avec des pourcentages. 

     La maladie du pourcentage est une maladie mortelle.

    Pour Israël j'ai aussi trouvé cet article du Progrès du 6 septembre 2021

    https://www.leprogres.fr/sante/2021/09/06/covid-19-non-la-situation-en-israel-ne-demontre-pas-l-inefficacite-des-vaccins

    On y retrouve des pourcentages et des "raisonnements" et "décision contraigante" affirmée sur des pourcentages comme dans ce commentaire :

    "Le dernier graphique démontre la nécessité delà vaccination obligatoire à partir de 50 ans et de la troisième dose à partir de 70 ans , n en déplaise aux scientifiques de comptoir……….!!!"

     

                                                                                *****

 

 

 

Voci une exceptionnelle vidéo de 17mn par le Docteur Sucharit Bhakdi. Il expose avec une rare pédagogie comment fonctionne le système immunitaire contre le virus et donne une bonne nouvelle : nous ne sommes pas désarmé, nous pouvons le neutraliser. Le virus va d'abord dans la gorge où ll reste suffisamment longtemps pour agir. Il ne tue que s'il va, plus tard, dans les poumons.

Mais à partir de 11'45'' il y a la mauvaise nouvelle : elle vient de la vaccination.

"Laissez moi vous dire quelque chose de très alarmant"

Quand on donne la seconde injection, alors  tout peut aller très mal. Le vaccin est déjà allé dans la circulation  sanguine avec la première injection et les cellules qui tapissent les vaisseaux ont pu être infectées par la protéine spike. Mais à la seconde injection ce seront nos lymphocytes qui vont attaquer les cellules contaminées.

"Alors, que Dieu vous viennent en aide car alors ils vont attaquer les cellules des parois de vos vaisseaux." 

"C'est une situation  unique crée par la vaccination" 

"La vision est si horrible et si affreuse que je ne veux pas y penser. Je veux seulement que vous ne preniez pas la seconde dose ni même la première.  C'est ce qui ressort des publications qui viennent de sortir..."

"Les conséquences sont très simples :

"NOUS DEVONS TOUT ARRÊTER MAINTENANT !"

Alors, regardez cette vidéo,  regardez là, plusieurs fois, faites-le, faites le ...

 

https://odysee.com/@Toutadire:a/Dr.SucharitBhakdiOracleFilms:5?src=embed

 

J'envisage de faire ici, à suivre, un fourre tout de citations prises ici ou là et parmi les plus  judicieuses ou pertinentes afin de pouvoir les retrouver aisément plus tard pour une analyse éventuelle de l'épreuve subie par l'humanité sous la houlette de ses dirigeants.

"Quant à l’avertissement des médecins et scientifiques de l’OMS que le virus Delta «enlèvera» les personnes vulnérables, nombreux sont ceux qui, dans les classes dirigeantes des puissances impérialistes, voient cela comme une chose positive. Ils considèrent que la vie des personnes âgées et des infirmes dans leur propre pays leur retire des ressources qui pourraient être consacrées aux profits et à l’accumulation de richesses personnelles. Ils se soucient encore moins de la vie de centaines de millions de personnes confrontées à la maladie et à la mort dans les pays pauvres."

https://www.wsws.org/fr/articles/2021/06/23/cvmd-j23.html 

8 mars 2021

Expérience en Israël : vaccination ou thérapie ?

 

EXPERIENCE en Israël : vaccination ou thérapie ?

 

Le Professeur Christian Perronne l'avait dit : les vaccins à ARN messager ne sont pas des vaccins mais des thérapies géniques, autrement dit des traitements. L'expérience vaccinale en Israël avec le seul vaccin Pfizer à ARMm semble bien le confirmer.

En effet si l'on disposait d'un traitement efficace contre les formes graves de covid* mais sans effets sur la transmission du virus, voire dont l'usage pourrait favoriser l'apparition de variants et donc la circulation de ces variants, on pourrait s'attendre à observer des formes de la maladie qui pourraient être moins graves mais plus nombreuses, en admettant toutefois que le traitement soit encore efficace sur les variants.

* L'Ivermectine paraît avoir cette capacité de traitement tout en étant très peu chère et peu nocive, beaucoup moins que les vaccins. Voir en fin d'article.

1- Voici des observations faites en Israël [0] :

«  L’analyse des données récoltées à l’occasion de la vaste campagne de vaccination contre le Covid-19 menée en Israël confirme l’efficacité du vaccin Pfizer/BioNTech en conditions réelles, selon les données du gouvernement[1]. Une étude d’envergure révèle également une baisse des décès liés à la maladie de 72% dans un délai de 14 à 20 jours après la première dose chez les personnes vaccinées, tout âge confondu ainsi qu'une efficacité équivalente à celle observée dans les essais après les deuxième dose[2]. »

2- On constate ainsi une baisse des hospitalisations :

« Pour le moment, la baisse des hospitalisations chez les plus âgés est l’effet le plus visible de la campagne de vaccination massive initiée en décembre dernier par le gouvernement israélien.

Selon les données collectées par le ministère de la santé, le taux d’hospitalisation chez les plus de 60 ans a chuté de 31% entre mi-janvier et début février 2021 [1]. Le taux d’infection par le SARS-CoV2 a, quant à lui, chuté de 41% dans cette population. Près de 90% des 60 ans et plus ont reçu les deux doses de vaccin. »

3- Conclusion provisoire :

«  La baisse des cas graves et de la mortalité est actuellement l’effet le plus flagrant de la vaccination »* a précisé le Pr Cyrille Cohen, directeur du laboratoire d’immunothérapie de l’université de Bar Ilan, en Israël, auprès de Medscape édition française. « On était, il y a un mois à 1 200 cas graves par jour. Depuis, la baisse est constante et nous sommes actuellement à 740 cas quotidiens. Pendant la même période, on est passé de 61 à 20 décès liés au Covid-19 par jour. »

*N'oublions pas cependant que Israël avait institué un confinement très strict pendant la période de vaccinations intenses.



MAIS, MAIS … [0]

« En dépit de ces résultats encourageants et d’un rythme soutenu de la vaccination, le retour rapide à la normale pourrait être compromis. L’Etat hébreu est en effet confronté à une  nouvelle hausse des infections qui pourrait obliger les autorités à ralentir le déconfinement. »


« Un R0 qui repart à la hausse

En Israël, alors que la moitié de la population a reçu au moins une dose du vaccin à ARN de Pfizer/BioNTech, la fin du confinement pourrait finalement être retardée. La raison? Un R0, le taux de reproduction du virus, qui repart à la hausse. « De 0,76 la semaine dernière, notre R0 devrait dépasser 1 ces prochains jours », a précisé  le Pr Cyrille Cohen, directeur du laboratoire d’immunothérapie de l’université de Bar Ilan, en Israël. »

 

Alors on espère …

 

« On espère que la vaccination continuera à protéger des cas graves et qu’il n’y aura pas de hausse des hospitalisations » après cette reprise épidémique, a ajouté l’immunologiste, également membre du conseil consultatif sur les essais cliniques des vaccins contre le Covid-19 au ministère de la Santé israélien.

On espère et il faut patienter ...

« Il faut maintenant patienter deux à trois semaines pour voir si cet effet protecteur sera conservé face à la hausse des cas. »

Les indicateurs permettent toutefois d’entrevoir le scénario à venir: « on s’attend à un niveau élevé de contamination, mais en gardant les hôpitaux désengorgés et en limitant la mortalité, puisque 80 à 90% de la population à risque est désormais vaccinée. »

 

En espérant que les vaccins restent efficaces contre les inévitables variants :

 

« Le variant britannique, qui se retrouve désormais dans 90% des infections par le SARS-CoV2 en Israël, favoriserait également la circulation du virus, notamment chez les plus jeunes. S’il est démontré que le vaccin est efficace contre ce variant, des préoccupations persistent avec les variants sud-africains, brésiliens ou encore new-yorkais. »

 

Pas de traitements contre la covid ? Vraiment !

 

Pas de traitements ou on n'en veut pas ? Après la saga de l'hydroxychloroquine, un autre traitement avec un médicament très ancien, très peu cher (c'est sans doute son principal défaut) et très peu nocif, l'Ivermectine utilisée contre la rage ainsi que contre la cécité des rivières en Afrique, pourrait être utilisé avec succès contre la covid. Vous trouverez tous les détails sur le site de l'AIMSIB dans cet article de Pascal Sacré, médecin réanimateur belge :

 

https://www.aimsib.org/2021/01/10/ivermectine-dans-la-covid-de-la-parole-aux-actes/

 

Ce médicament aurait de multiples avantages sur les vaccin, que ce soit par rapport aux effets secondaires, au coût ainsi qu'au risque de provoquer l'apparition de variants. Il est en effet étrange que le variant anglais soit apparu peu de temps après que les Anglais aient vacciné de façon concentrée dans le temps et l'espace avec un vaccin ARNm, qu'il en est été de même à Macaos au Brésil avec l'apparition du variant brésilien et de même encore avec cette vaccination au Cap et l'apparition du variant sud-africain sans parler du variant de New York.

AMM conditionnelle : en raison de la hâte dans laquelle les vaccins covid ont été réalisés et de l'absence d'études plus poussées, leur AMM est suspendue à l'absence de traitements efficaces contre la maladie. On comprend pourquoi il ne doit pas y avoir de traitement reconnu contre cette maladie.

 

OUI, UNE AUTRE REPONSE EST POSSIBLE

 

[0] Source Medscape

https://francais.medscape.com/voirarticle/3606941

 

https://francais.medscape.com/voirarticle/3606939?src=WNL_mdplsfeat_210305_mscpedit_fr&uac=251346AG&impID=3227196&faf=1



[1] Rossman H, Shilo S, Meir T, Patterns of Covid-19 pandemic dynamics following deployment of a broad national immunization program, medRxiv, publication en pré-print.

[2] Dagan N, Barda N, Kepten E, BNT162b2 mRNA Covid-19 vaccine in a nationwide mas vaccination setting, NEJM, publication en ligne du 24 février 2021.

18 janvier 2021

La vaccination comme amplificateur de l'épidémie ?

 

Il m'a été posé une question : la vaccination pratiquée en période d'épidémie

pourrait-elle favoriser l'épidémie ?

Cela est avéré pour le BCG qui est à mycobactérie vivante dérivée d'un bacille de Koch bovin virulent. Même si ce n'est pas reconnu officiellement, c'est aussi vrai pour la variole, le vaccin étant à virus vivant répliquant (la pustule). J'ai longuement étudié cette question sur ce blog et sur le site de l'Aimsib [1] et [2]. Pour la grippe, le virus étant « tué », c’est moins sûr même si  2 agressions simultanées, grippe + vaccin restent problématiques. Pour la rougeole, le vaccin étant à virus vivant, on nous affirme que la vaccination est  protectrice dans les 72 heures qui suivent le début de la maladie Comme il y a 26  sérotypes, que le vaccin  est d’un type A et que les virus qui circulent aujourd’hui sont du type D ou B, on peut avoir des doutes.

 

Pour le virus du Sras Cov 2 je me pose 2 questions.

  • Y’a-t-il des raisons biologiques à ce phénomène ?

Pour ce qui est de son action sensée être protectrice, il  y a l’arrivé  de l’ARNm qui provoque la formation de protéine de l’enveloppe du virus (mais sans le virus), ce qui provoque la formation d’anticorps contre cette protéine. Si le virus sauvage arrive aux alentours de la vaccination ce pourrait être le ménage à trois : d’une part rencontre du virus avec une partie de son ARN ou d’un mutant ; d’autre part rencontre avec sa protéine de surface ou la protéine d’un mutant ; enfin la rencontre des 3 en même temps alors que les anticorps ne sont pas encore là. Que ce passe-t-il ? Je n’en sais rien mais ne suis pas certain que le problème ait été étudié avant le lancement du vaccin.

  • Y’a-t-il des raisons sociales ?

Le vacciné veut profiter de son nouvel état, voire statut, pour se donner de l’air et respirer un peu : « je vais pouvoir aller au cinéma, embrasser mes petits enfants, prendre l’avion avec d’autres vaccinés …" Bref ne plus s’embarrasser des distanciations et autres mesures contraignantes.  Or, le vaccin ne peut pas endiguer les virus qui sont dans les fosses nasales, ce qui lui permet de se propager par le souffle, les mains, les surfaces … même si l’hôte a été vacciné et alors qu’il prend moins de précautions où même bénéficiera d’un statut officiel pour le faire.

 

De plus, le mutant qui cause anglais a un tropisme pour le nez, d’où sa plus grande contagiosité alors qu'il est appelé à supplanter le premier. Même si le vaccin est actif contre lui, il ne pourra l’être que s’il le rencontre, lui ou ce qu’il génère.

 

Avec le couvre feu à 18h qui concentre les déplacements du soir et accentue les promiscuités dans les transports en commun, les vaccinés pourraient être d’actifs vecteurs de propagation du virus et ce même si le vaccin est efficace contre lui.

CONFIRMATIONS PAR LES FAITS ?

Une analyse par le docteur Gérard Delépine :

https://ripostelaique.com/et-si-le-vaccin-pfizer-augmentait-la-mortalite-du-covid.html

[1] http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2013/10/16/28149160.html

[2] https://www.aimsib.org/2020/05/10/eradication-de-la-variole-la-desastreuse-vaccination-des-sujets-contacts

 

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